L’incontinence urinaire (IU) est plus répandue qu’on ne le pense chez les femmes. Elle est vécue difficilement en raison des conséquences personnelles et sociales qui pèsent sur le bien-être psychologique et relationnel des patientes qui en souffrent (1). La prévalence de l’IU chez les femmes adultes varie de 4 % à 35 % selon les sources(2) et toucherait près de la moitié d’entre elles après la ménopause(3).
Les facteurs favorisant l’IU sont multiples et notamment liés au vieillissement, à l’accouchement, à la ménopause et aux dérèglements hormonaux. En effet, les organes génitaux féminins perdent en tonicité ce qui peut provoquer des affections telles que la vaginite atrophique, la diminution de la sensation lors du coït et l’incontinence urinaire à l’effort(4, 5). La laxité vaginale serait l’élément déterminant qui génère et accélère l’incontinence urinaire à l’effort chez les femmes(6).
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